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Histoire X

  • Conseil beauté

    chères jeunes filles, dorénavant quand vous tenterez de me faire la bise j'aimerais vous voir éviter de me la faire quelques minutes après avoir effectué et réalisé avec brio (vu les stigmates) une fellation. Ou si cela s'avère impossible, lavez-vous la bouche et les alentours. En vous remerciant.

  • Qui de la Force ou du Côté Obscur va l'emporter?

    Les avocats du roi (déchu?) de la pop ne se contentent plus de dire que leur client est innocent des crimes dont on l'accuse mais qu'il est victime d'un entourage sans scrupules et d'une odieuse machination.

    Pourtant, les charges retenues contre Michaël Jackson, au nombre de dix, ne sont pas légères. Accusé d'avoir abusé sexuellement d'un garçon de 13 ans, atteint d'un cancer, dans son ranch californien de Neverland en février ou mars 2003, il aurait également fait boire de l'alcool à sa victime présumée. Il est accusé en outre d'avoir séquestré l'adolescent et sa famille et tenté de masquer son crime en menaçant sa famille.

    Pour contrer ces accusations, les avocats de Jackson ont appelé des témoins qui ont dépeint le chanteur aux plus de 110 millions d'albums vendus dans le monde, comme un homme-enfant, immature, voire naïf. Une proie facile pour une "professionnelle de la plainte" comme a été qualifiée par la défense la mère de la victime présumée qui ne chercherait qu'à extorquer de l'argent à la vedette.

    Vendredi, Mark Geragos, l'avocat des stars d'Hollywood, est venu à la rescousse de son ancien client. "Quand j'étais son conseil, a-t-il dit, j'ai vu un homme qui était presque comme un enfant. Je ne l'ai jamais vu faire quelque chose de scélérat ou criminel. J'ai vu quelqu'un sur le point d'être pris pour cible".

    Des témoignages de cette nature, les jurés du tribunal de Santa Maria en ont entendu plus d'une dizaine depuis que la défense fait défiler ses témoins à la barre.

    Avocat de Jackson au début 2003, David LeGrand a affirmé jeudi que "tout le monde cherchait à tirer profit de Michaël Jackson d'une manière ou d'une autre". L'ex-femme de Jackson, Debbie Rowe, mère de deux des trois enfants du chanteur, avait auparavant qualifié les associés de son ancien mari de "vautours".

    Mercredi, l'ancien enfant-star, Macaulay Culkin, héros des films "Maman, j'ai raté l'avion", aujourd'hui âgé de 24 ans, a reconnu avoir partagé son lit avec Jackson quand il se rendait à Neverland, au début des années 1990. Le chanteur n'a jamais cherché à abuser de lui, a-t-il dit comme deux autres jeunes gens avant lui.

    Jackson lui-même s'est exprimé via la projection d'une vidéo de près de trois heures dans la salle du tribunal mercredi et jeudi. Ce film, long plaidoyer pro domo, a fait découvrir un homme à l'enfance volée, souvent pathétique et terriblement solitaire.
    Au cours de la projection dans la salle du tribunal, la mère de l'accusé, Katherine, n'a pu retenir ses larmes et Jackson lui-même a semblé ému au point que son avocat, Tom Mesereau s'est penché vers lui pour le consoler.



    Dans cette vidéo, le chanteur a dépeint son père, Joe comme un être obsédé par la réussite. Il a raconté comment, enfant, il enviait les gosses du voisinage qui jouaient alors que lui devait étudier la musique et la danse, poussé par ce père tyrannique qui le surnommait "gros nez".

    Michaël risque jusqu'à 20 ans de prison.

  • J'ai eu la chance de ne pas avoir des parents communistes

    L'ancien président soviétique Mikhaïl Gorbatchev a déclaré dimanche qu'on ne pouvait pas "pardonner Staline" à l'occasion du 60e anniversaire de la victoire sur l'Allemagne nazie, rappelant que le dictateur avait décidé personnellement d'envoyer à la mort un grand nombre de personnes."Bien entendu, le nom de Staline sera cité plus d'une fois lors des célébrations du 60e anniversaire de la victoire soviétique sur l'Allemagne nazie", a dit M. Gorbatchev."Mais on ne doit pas aller jusqu'à dire que nous devons la victoire à Staline ou que sans Staline nous ne l'aurions pas obtenue. Cet événement remarquable ne doit pas être utilisé pour louer Staline", a poursuivi le père de la Péréstroïka (mouvement de transformation du communisme qui a débouché sur sa chute au début des années 90)."En jugeant le rôle de Staline, on doit se rappeler qu'il était l'homme responsable des représailles de masse, qu'il ne reculait devant rien et utilisait tous les moyens pour atteindre ses objectifs", a-t-il souligné."J'ai lu les archives. L'appareil d'extermination ne pouvait fonctionner sans qu'il soit au courant. Il a signé des arrêts de mort en grand nombre, envoyant à la mort de grandes personnalités comme des gens ordinaires"."Il ne peut y avoir de pardon. Nous devons nous en souvenir", a conclu M. Gorbatchev. Un mouvement en faveur d'une certaine réhabilitation de Staline s'est fait jour en Russie à l'occasion du 60e anniversaire de la victoire. Animé notamment par les communistes et certains vétérans, il a abouti à plusieurs tentatives d'ériger des statues du dictateur et aussi à des demandes - restées sans effet - de rendre l'ancien nom de Stalingrad à la ville de Volgograd.