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le°zef°o°show (Jean Moulin fut, lui aussi, victime de la barbie nazie) - Page 2

  • armande°à°la°question

    Armande qui es-tu?

    Même si elle restera pour longtemps la professeur de chant des premières saisons de la Star Academy, il y a eu une Armande Altaï avant Armande Altaï. Née en Syrie en 1944, Armande après un passage aux beaux-arts, emménage à Marseille et rentre au conservatoire pour prendre des cours de chant. Entre 1972 et 1977, elle est engagée dans la pièce Godspell aux côtés de Dave (oui oui) et le charmant Daniel Auteuil. En 1979 sort son premier disque Altavisme, suivi deux ans plus tard en 1981 d'un second Informulé qui lui permettront de faire une tournée dans toute la France. Son troisième album est produit par le fantasque et exigent producteur Martin Hannett qui aboutira en 1983 àNocturne Flamboyant. Un silence de près de 20 ans qui s'interrompt lors du lancement de l'émission de télé-réalité Star Academy, où elle officie en tant que professeur de chant à la fois subversive et glamour-rock Pendant trois ans, ses méthodes et sa personnalité atypiques rythmeront et formeront les futurs artistes que sont Jenifer ou Nolwenn Leroy. En  2003, après avoir abandonné la Star Ac, Armande sort un livre intitulé Cette musique qui me vient de loin et, enfin, après vingt-quatre ans d'attente, elle sortira un quatrième album en 2007, intitulé Héroïne Fantaisie.

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  • Je vous céderai bien ma place, mais elle est occupée

    Mon périple jeune avant la desfraîcheur (narta si possible)

    Je me rends à mon centre commercial -celui dans lequel j'empruntais des boules magiques que je ne rendais jamais quand j'avais 12 ans- pour faire l'acquisition d'un four micro-ondes grill. Après 1h30 d'hésitation entre celui à 59,90 euros et celui à 99 euros au lieu de 120 euros, j'opte pour le premier évoqué : petit, pas très efficace niveau grill mais pas cher. A la caisse je sors mon bon de réduction de 5 euros puis j'arrive vers ma voiture. J'ouvre mon coffre, je ramène le caddie (marque déposée) et oups la pièce ne m'est pas rendue.

    Pour 1 euro, après 5 minutes à taper dans le chariot avec mes chaussures de foot faites pour la ville, je veux rentre chez moi. Une fois dansla voiture, la colère me reprend, je prends alors l'initiative de klaxonner, quelqu'un du supermarché va bien venir voir ce qui se passe. Et bien non! on peut taper dans un chariot comme un dingue et klaxonner comme Randle Patrick McMurphy à 13h30 dans un parking sans que personne ne s'en émeuve.

    Je me rends alors vers la caisse centrale, là on me dirige manu-militari vers le vigile. Ce dernier armé d'un couteau suisse offert sûrement par les Editions Atlas suite à l'achat de la collection des mini-poupées Bratz vient avec moi voir le caddie (marque déposée) en question.

    Evidemment il n'était plus là. On retourne à la caisse centrale, le vigile propose qu'on me rende mon euro mais apparemment la responsable ne partage pas son ambition. Je prends alors immédiatemment le micro en otage et lance un appel :

    "la personne qui roule avec un caddie qu'elle n'a pas louée est priée de le ramener à la caisse centrale" Certaines personnes manquent d'humour je tiens à vous le préciser.

    Finalement la responsable m'informe que le directeur du magasin va venir. 5 minutes, un ange passe et la responsable revient vers moi : "je vous offre ce jeton à utiliser lors de vos prochaines courses" Moi "on se fiche de moi?" (là j'ai parlé un peu trop vite). Parce qu'après m'avoir tendu le jeton comme on tend une sucette à une gamine pour qu'elle cesse de geindre, elle m'a donné une pièce de un euro. J'ai donc mis 2 heures pour acheter un four micro-ondes grill que j'ai rapporté le soir même. L'intense réflexion de l'après-midi m'ayant amenée à penser que cet achat n'était pas une bonne idée : autant rien n'acheter qu'une saloperie à 59,90 euros. Je retourne donc à la caisse centrale, alors que j'avais déboursé 54,90 € (59,90 - 5), on me tend 3 billets de 20. Je n'aurais pas tout perdu même si je n'ai rien gagné. Saviez-vous qu'il fallait payer l'essence?

    Durant 2 heures j'aurais pu lire la biographie posthume d'Alizée.

  • C'est con d'être sourd

    ça n'empêche pas de lire les skyblogs.

  • Un enterrement? Appelez-moi!

    Hier j'ai "enterré" la personne qui comptait le plus dans ma vie, depuis son décès je sens un manque énorme. J'ai pris mon courage à dix doigts et j'ai lu un texte à la messe, une lettre de Saint-Paul puis un au cimetière avant la mise au tombeau. Maintenant je suis galvanisé, je suis prêt à faire lecture dans tous les enterrements du coin, eh oué faut le dire je lis pas mal.
    En revanche, j'ai déjà derrière moi plusieurs enterrements et c'est le seul où je n'ai pas piqué un fou rire même de nervosité. Quand on est touché de très très prêt, c'est vrai que c'est pas drôle la mort.

  • Adieu Gérard mon père et ami

    Aucun événement sportif n'échappait aux mailles de son filet. Attentif, curieux de tout, il savait également prendre le recul nécessaire, dans la rédaction de ses "papiers". Deux générations de sportifs l'ont croisé sur les stades, dans les gymnases, sur les pas de tirs, ou à proximité de la ligne d'arrivée d'une course à pied.

    Même s'il avouait une tendresse particulière pour le basket (qu'il a pratiqué dans son jeune temps au sein de l'Espérance), il était de tous les événements, savait en apprécier l'importance, en rendait compte dans nos colonnes avec des mots bien choisis. Tous les responsables de clubs, tous les sportifs appréciaient la qualité de ses comptes rendus, la justesse de ses analyses, et cette pointe d’humour qu’il savait distiller à bon escient.

    Malade depuis quelques années, Gérard avait été dans l’obligation de cesser son activité professionnelle de correspondant sportif. Hospitalisé ces derniers jours, il s’est éteint mardi soir, à la veille de son soixante-neuvième anniversaire.

    Né dans une famille de négociants en vins, en 1960 il assure le lien entre l’Espérance Basket et notre agence. Gérard prend l’habitude de venir chaque semaine dans nos locaux déposer les annonces et les résultats des matches. Au printemps 1961 le chef d’agence crée pour lui le poste de correspondant sportif. Pendant quatre décennies, il sera fidèle au poste, restituant avec rigueur et fidélité l’actualité sportive locale. Il savait utiliser le mot juste, donner de la couleur à ses articles, ne sacrifiant jamais à l’approximation.

    Méthodique, pointilleux, il avait toujours sous le bras un porte-documents contenant des feuilles noircies de résultats et de notes. Il y puisait souvent, pour enrichir ses papiers.
  • Les aliments sont nos amis


    Qu'est ce qui est rouge et qui traverse les murs? super tomate.
    Qu'est ce qui est jaune avec une cape étalée sur le mur?
    une banane qui se prend pour super tomate.

  • ça ira mieux hier

    nous devisons de tout : de nos lectures, de la politique, de Dieu, des femmes, parfois des hommes, de la pluie et du beau temps. Nous énonçons parfois de belles conneries. Mais nous nous marrons beaucoup. Nous buvons un petit peu. Nous rigolons encore. De huit heures du soir à cinq heures du matin, nous ne nous ennuyons pas! Il est peut être emmerdant, chiant, agaçant pendant des heures, mais tout à coup, il aura cinq minutes de drôlerie étonnante. Pour ces cinq minutes, je l'aime et j'oublie le reste. Parce qu'il sait rire de tout. Même de la mort. Même un jour d'enterrement.

     

    Et quand j'irais mieux je vous parlerais des "femmes fontaine", sujet qui me trouble depuis quelques mois. D'ailleurs si vous en êtes une, je pourrais peut être faire une entorse à ma chasteté^^

  • Epitaphe en construction

    "Toutes les chances d'erreur, pire encore toutes les chances de mauvais goût, de facilité vulgaire, sont avec celui qui hait" C'est malheureusement un peu moi mais je garde espoir pour la suite.

  • J'ai choisi de ne pas être drôle, il faut savoir faire attendre son effet

    6. EXT. DEVANT LA TENTE DE LA FAMILLE LEGENDRE. 10H00.

    Monsieur Hausknecht sort de sa tente. France L. prépare le petit-déjeuner, elle ait des allers-retours entre la table extérieure et la cuisine intérieure. Elle aperçoit son voisin durant un de ses « voyages ».

    France :
    Bonjour monsieur Haussenec… Belle journée, hein ?

    M. Hausknecht : (lentement mais avec agressivité)
    Mon-sieur Haus-K-necht.

    France est déjà repartie à la cuisine surveiller le lait. Antoine arrive et se met à table.

    France :
    Ah, bah te voilà, t’étais où ? Ni ton frère, ni ton père, ni Camille ne savaient où te trouver ?

    Antoine :
    J’ai 19 ans, je n’ai plus de compte à te rendre.

    France :
    Si, tant que tu vis chez ton père et ta mère, et pour nous tu n’es pas encore majeur. Qui c’est qui te nourris ?

    Antoine :
    Maman, nous sommes en VA-cances. J’peux pas aller bien loin de toute façon.

    France :
    Ce n’est pas une raison, ton père et moi on s’fait du mouron pour toi.

    Antoine :
    Allez maman ! Laisse-moi finir de préparer le p’tit-déj.
    (Didactique) Fais le vide dans ta tête, tu as 15 jours pour oublier les petits tracas du quotidien.


    7. INT. NUIT DE LUNDI A MARDI. TENTE DES HAUSKNECHT.

    Un chien aboie.

    Monsieur Hausknecht :
    C’est pas possible, à qui il est ce chien ? Je peux te dire qu’ils vont m’entendre demain.

    Le chien hurle tel un loup.

    Madame Hausknecht :
    Chou, calme-toi, il ne doit pas faire exprès.
    Monsieur Hausknecht se retourne sur le ventre.

  • Je vous jure ça va être drôle à un moment

    4. INT. BUREAU ADMINISTRATIF.

    La secrétaire :
    Comment c’était aujourd’hui, il y a de beaux mâles ?

    La responsable :
    Je crois qu’on ne peut pas faire pire.

    La secrétaire :
    Ah, raconte ! raconte !…
    Monsieur Hausknecht arrive.

    M. Hausknecht :
    Alors mon nouveau numéro ? Le 25 à côté de la crèche ou peut-être le 69 en face des animateurs.

    La secrétaire :
    Le 69 ce n’est pas raisonnable , monsieur Hausknecht, vous oubliez votre femme.

    M. Hausknecht :
    Vos bons mots suffisent, mademoiselle !

    La responsable :
    Croyez-moi bien que j’en suis navrée pour vous mais vous resterez au 36. Bonne nuit monsieur Hausknecht et mes salutations à votre épouse.
    Elle le raccompagne à la porte en disant ces mots.



    5. EXT. 1°LUNDI. DEVANT LA TENTE DES LEGENDRE. BEAU TEMPS. 9H30.

    Richard sort de sa tente en caleçon. Il s’étire pour bien se réveiller. C’est alors qu’apparaît Marcel, essoufflé et en sueur (short, casquette, walkman). Il voit Richard et arrête son walkman. (lorsque la caméra suivait Marcel, on entendait la musique qu’il écoutait).


    Marcel :
    Belle journée à l’horizon, n’est-ce pas ? (il regarde le ciel).

    Richard : (il crie)
    T’es matinal ?

    Marcel :
    Oh, j’entretiens la forme.

    Richard : (continue à hurler)
    Eh bah moi, j’profite des vacances pour décompresser et pour me reposer avec ma femme. L’exercice c’est après le boulot les week-end.

    M. Hausknecht : (dans son lit avec sa femme)
    Moi aussi j’aimerais bien me reposer. (Enervé il met son oreiller sur la tête).

    Sa femme :
    Chou ne t’énerves pas (fort accent belge), il ne doit pas se rendre compte.

    Marcel : (il crie)
    Pourquoi tu hurles ?

    Richard : (qui crie toujours)
    A cause de toi et de tes fichus machins sur les oreilles.

    Monsieur Hausknecht s’étouffe avec son oreiller pour trouver le silence.

    Marcel : (voir s’il doit ou non crier)
    Ah ! c’est pas la peine de crier pour ça, j’entends parfaitement, j’l’ai arrêté quand j’t’ai vu.
    Bonjour France.

    France Legendre :
    Bonjour Marcel… Belle journée hein ?

    Marcel :
    Oui, elle se présente bien, c’est ce que je disais à votre mari.

    France : (elle s’adresse à son mari)
    Tu sais pas où est Antoine ?

    Richard :
    Dans son lit certainement, tu as vu l’heure ? y doit être crevé.

    France :
    Justement il n’y est pas.

    Marcel :
    Bon, bah moi j’vous quitte. Salut.


    Richard :
    Vas voir Arthur, il le sait peut-être, il est avec Camille derrière. (10 ans et demi, fille des amis des Legendre, mi-ange/mi-démon).