Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

le°zef°o°show (Jean Moulin fut, lui aussi, victime de la barbie nazie) - Page 14

  • Sur le pavé, la page

    Le bookcrossing! Késako? C'est abandonner un livre dans un lieu public pour partager le plaisr de sa lectrue avec un inconnu. Très difficile à faire pour moi, j'ai déjà dû mal à prêter un livre alors aller jusqu'à l'anbandonner... Mais l'idée me plaît, c'est une sorte de terrorisme intellecutelle on n'impose pas aux autres mais on en n'est pas loin. Voici la procédure que je m'empresse de vous décrire :
    1. Etre prêt à se séparer d'un "livre d'amour", comme ils les appellent sur le site.
    2. Se connecter sur www.bookcrossing.com et suivre les instructions pour obtenir le B.c.i.d. (c'est là que se trouve une grande partie de l'intérêt de cette nouveauté culturelle) qui est le numéro d'indetification du livre que vous allez libérer. Vous allez imprimer une étiquette portant ce numéro à coller à l'intérieur du bouquin.
    3. indiquez aussi l'adresse du site et surtout indiquez vos motivations.
    4. le lieu? un banc, un café mais le top du top c'est de choisir un endroit géographique correspondant au contenu.
    5. vous pouvez même donner sur le site des indices pour que certains partent à la recherche de votre livre.
    6. vous recevrez par mail les nouvelles concernant votre livre lorsqu'il sera trouvé et signalé par son nuéro sur le site.



    Le bookcrossing qui est censé être pratiqué par des amoureux de la littérature pour tenter de faire connaître des ouvrages de qualité qui les auraient bouleversés est un vieux pneu puisqu'actuellement les livres les plus "perdus" sont : DaVinci - La Nostalgie de l'Ange - Anges et Démons - L'affaire Pélican - La firme - jurassic Park...

  • J'ai eu la chance de ne pas avoir des parents communistes

    L'ancien président soviétique Mikhaïl Gorbatchev a déclaré dimanche qu'on ne pouvait pas "pardonner Staline" à l'occasion du 60e anniversaire de la victoire sur l'Allemagne nazie, rappelant que le dictateur avait décidé personnellement d'envoyer à la mort un grand nombre de personnes."Bien entendu, le nom de Staline sera cité plus d'une fois lors des célébrations du 60e anniversaire de la victoire soviétique sur l'Allemagne nazie", a dit M. Gorbatchev."Mais on ne doit pas aller jusqu'à dire que nous devons la victoire à Staline ou que sans Staline nous ne l'aurions pas obtenue. Cet événement remarquable ne doit pas être utilisé pour louer Staline", a poursuivi le père de la Péréstroïka (mouvement de transformation du communisme qui a débouché sur sa chute au début des années 90)."En jugeant le rôle de Staline, on doit se rappeler qu'il était l'homme responsable des représailles de masse, qu'il ne reculait devant rien et utilisait tous les moyens pour atteindre ses objectifs", a-t-il souligné."J'ai lu les archives. L'appareil d'extermination ne pouvait fonctionner sans qu'il soit au courant. Il a signé des arrêts de mort en grand nombre, envoyant à la mort de grandes personnalités comme des gens ordinaires"."Il ne peut y avoir de pardon. Nous devons nous en souvenir", a conclu M. Gorbatchev. Un mouvement en faveur d'une certaine réhabilitation de Staline s'est fait jour en Russie à l'occasion du 60e anniversaire de la victoire. Animé notamment par les communistes et certains vétérans, il a abouti à plusieurs tentatives d'ériger des statues du dictateur et aussi à des demandes - restées sans effet - de rendre l'ancien nom de Stalingrad à la ville de Volgograd.

  • Le Big Mambo OK mais le Pulco c'est traître.

    Aujourd'hui c'était l'anniversaire de mon meilleur ami (36 ans mais ne lui dites-pas). Je décide d'aller boire un verre avec lui vers 18h. On décide de prendre un cocktail pour débuter, lui un Arc-en-Ciel avec de la vodka, du get et de la menthe (tout ce qu eje n'aime pas) et moi j'opte pour un Big Mambo cocktail au rhum et à la grenadine. Excellent, du coup on décide d'en remettre une louche. Mais cette fois-ci on opte, à cause de nos finances, pour un cocktail à la bière, on prend la même chose, le nom m'échappe mais pas la composition : bière blonde, téquila, pulco et sucre. Là ça nous a bien arraché, ça m'a mis K.O., j'ai même tenté de draguer une fille qui s'est avérée être la petite amie du serveur. Il faut savoir que, nous les hommes, on aime plaire alors on cherche en permanence de nouveau défi juste pour notre égo; actuellement et jusqu'à la fin des temps c'est mon p'tit Lu qui est dans mon coeur.
    Après on sort dans la rue et là on se met à faire du Lafesse jusqu'à l'arrivée d'un homme en costard blanc avec chemises roses à fleurs. Oh purée c'était mon chef ex-eaquo avec mon autre chef tout-puissant. Voilà que mon ami tente une remarque sur sa chemise, j'ai réussi à lui faire éviter mais je crois qu'il m'a quand même bien vu tournicoter sur le trottoir à la recherche d'un équilibre précaire. Ensuite une jolie petite café au lait nous a fait un énorme sourire et là je suis reparti en bus chez moi. J'en ai alors profité pour me demander ce qui m'avait autant cassé : et j'en suis sûr c'est le Pulco, j'aurais pu boire 10 Big Mambo je serais toujours en pleine forme capable de battre Carl Lewis sur 1 kilomètre à pied ça use les souliers. J'en étais là de mes réflexions quand je me suis assoupi et là misère mes paupières se sont levés alors qu'il y avait plus de 3 kilomètres ça use encore plus les souliers que mon bus avait dépassé mon arrêt habituel et comble de malchance j'étais chargé comme un mulet.

  • PREMIERE PARTIE

    CHAPITRE PREMIER

    Sur ce sentiment inconnu dont l'ennui, la douceur m'obsèdent, j'hésite à apposer le nom, le beau nom grave de tristesse. C'est un sentiment si complet, si égoïste que j'en ai presque honte alors que la tristesse m'a toujours paru honorable. Je ne la connaissais pas, elle, mais l'ennui, le regret, plus rarement le remords. Aujourd'hui, quelque chose se replie sur moi comme une soie, énervante et douce, et me sépare des autres.

  • Un dos tres et pas cuatro

    Les Espagnols ne regardent plus un, dos, tres en tout cas. Je n'ai jamais vu ce programme mais je sais qu'il semble très populaire chez nous. En Espagne c'est fini, il n'y aura pas de saison 7 faute d'audience mais d'après mes renseignements M6 est encore loin d'avoir diffusé toutes les saisons. Ouf...
    Les comédiens sentaient la fin approcher : Miguel Ángel Muñoz (Roberto) reconnaît que "tout le temps passé depuis la fin du tournage en décembre nous a servi à nous faire une raison. Apprendre la nouvelle n’a ainsi pas été si dur, même si ça fait toujours un peu de peine de débarrasser sa loge" (Supertele, 19 avril 2005). Avant de trancher entre cinéma et théâtre, le comédien continue la promotion de Contigo, le nouvel album de UPA Dance (le groupe issu de la série), qui est déjà disque d’or de l’autre côté des Pyrénées. De leur côté, Mónica Cruz (Silvia) se lance dans le cinéma, et Beatriz Luengo (Lola) a sorti un album solo. Reouf!!!

  • Y'en a un qui vient encore de m'énerver

    dans ma boîte aux lettres aux normes de la poste je reçois un tract d'un habitant de mon village pour nous expliquer pourquoi lui (et donc nous) va voter non au référendum. Mais c'est quoi ça? maintenant il suffit qu'il y ait un blaireau avec un peu d'argent et hop il inonde notre village avec ses convictions politiques (comme moi jele fais sur MON blog par ailleurs). En plis les conneries qu'il peut raconter, Monsieur aurait voulu que la constitution parle de l'avortement et de la contraception. Je pense qu'il faudrait qu'on lui explique la différence entre ce qu'est une Constitution c'est-à-dire un cadre dans leqeul onpeut évoluer et les lois qui nous disent ce que nous pouvons ou non faire. Quand je lis de tels gugusses j'ai encore plus envie de dire OUI à cette Constitution imparfaite mais moins que lui. Et si vous votait oui Elle MacPherson viendra vous faire une tite bise.

  • Est-ce que les triangles raciniens existent depuis Racine?

    Deux bébés viennent de naître à l hôpital. L'un dit à l'autre :
    - T'es une fille ou un garçon ?
    - Je suis une petite fille ... et toi ?
    - Moi, je ne sais pas !
    - Baisse ton drap, je vais te dire ce que tu es.
    Il baisse son drap, mais la petite fille dit :
    - Baisse plus bas bordel de merde, je ne vois pas!!!
    Il baisse encore plus bas et la petite fille dit :
    - Oh ben t'es un petit garçon, t'as des chaussons bleus.

  • Le sexe rend heureux, pas moi.

    Entendre mes parents faire des choses avec leur corps m'avait plutôt ébranlé mais entendre des amis c'est pas beaucoup mieux. Heureusement pour moi que je jouais au beach volley dans Mario Party5 sur mon GameCube. J'étais tranquillou chez des amis avec le fils de ceuxci quand le mari rentre du boulot, il monte directos dans sa chambre, sa charmante épouse le rejoint et là boum badaboum. Je le reconnais je n'ai rien entendu ou si peu (ouf!), moi je ne me sens pas capable de faire ça sachant que j'ai des amis pas loin de là voire quasiment derrière la porte. Tout ça pour dire que j'ai été un peu choqué et que ça ne m'a pas mis de bonne humeur surtout quand il a commencé à brailler : "Je suis malade, complètement malade Comme quand ma mère sortait le soir Et qu'elle me laissait seul avec mon désespoir Je suis malade, parfaitement malade"
    Que devais-je faire? Accepter le Pringles qu'il m'a tendu après avoir fait ça?

  • Ca me fait très très plaisir

    J'ai gagné avant hier au tarot à trosi, le lendemai à quatre et le soir au bowling. C'est bête mais ça me fait toujours très très plaisir de gagner. Pour être honnête j'ai perdu aux échecs mais j'ai beuacoup de mal à me concentrer trop longtemps et en face de moi j'avais un spécialiste qui ne sait pas fait avoir quand j'ai tenté le coup du super chewal.

  • Dieu est peut-être un fumeur de havanes mais c'est avant tout un Dieu

    Un pompier de l'Etat de New York grièvement blessé à la tête il y a près de dix ans, a soudainement retrouvé l'usage de la parole et la mémoire, avec le sentiment d'être parti la veille, a raconté l'épouse de Donald Herbert, 44 ans qui semblait être dans un état semi-végétatif, privé notammment de la vue et de la parole, confiné dans un fauteuil roulant, après avoir vu s'effondrer sur lui le toit d'un bâtiment en feu, en décembre 1995, et être alors resté plusieurs minutes sans oxygène.Samedi 30 avril il a soudain retrouvé les mots et la mémoire, communiquant avec clarté pendant 14 heures de suite. "Je veux parler à mon épouse", ont été parmi ses premiers mots."Quand Don a parlé, il avait l'impression d'être parti seulement trois mois, il a été très surpris d'apprendre que cela faisait neuf ans et demi", a expliqué son épouse, Linda, mercredi lors d'une conférence de presse."Mon fils Nicholas, qui avait juste 4 ans lors de l'accident, est heureux de voir son père l'appeler par son prénom, l'embrasser et lui parler.", a-t-elle raconté.Les suites étaient dans l'immédiat difficiles à prévoir. "Don a fait des progrès mais il reste beaucoup de chemin à faire". Le médecin a pour sa part indiqué avoir changé la combinaison de médicaments neuro-stimulants de son patient il y a trois mois, mais s'est dit "très surpris" de son réveil soudain. "J'ai été tellement surpris: non seulement il parlait, mais il parlait de manière sensée, il reconnaissait les gens", a-t-il dit."Nous espérons, et avec l'aide de Dieu, il progressera. Il se peut que son état fluctue, mais à la manière dont il s'est réveillé, nous espérons qu'il progressera", a encore dit le médecin, relevant que "sa femme n'avait jamais renoncé" à le voir se rétablir. Prions pour que sa charmante épouse n'oublie pas de lui dire que la France a été championne du monde de soccer et que mon blog est devenu vital à l'économie du net.